Agenda 2013
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L’association La Riposte organise une série de rencontres mensuelles pour discuter de différents aspects de la théorie marxiste et de l’histoire révolutionnaire. Elles sont ouvertes à tous. Les discussions seront suivies d’un pot fraternel. Cette discussion – sur la conception matérialiste de l’histoire – sera animée par Jérôme Métellus, rédacteur de La Riposte et membre du PCF Paris 18e.
Le local du PCF Paris 10e étant en travaux, ce sont les camarades du PCF Paris 12e qui nous accueillent dans leur local, situé au 56 rue du Rendez-vous, à trois ou quatre minutes de la station métro/RER Nation.
Mardi 5 novembre - 19h30
La conception matérialiste de l’histoire
Quelle est la force motrice de l’histoire sociale, économique et politique ? Qu’est-ce qui explique l’ascension et le déclin des ordres sociaux qui se sont succédés au cours de l’histoire ? Quel est le rapport entre le mouvement des idées et le mouvement du monde ? Quel est le rôle de l’individu dans l’histoire ? Pour tenter de répondre à ces questions – et bien d’autres – Marx et Engels ont développé une conception matérialiste et dialectique de l’histoire, à l’opposé des conceptions idéalistes et moralistes du processus historique.
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La Riposte prend l’initiative de lancer sur la faculté de Saint-Denis (Paris 8) un « Cercle de discussion marxiste ». Tous ceux qui souhaitent y participer ou l’animer seront les bienvenus.
L’objectif est d’organiser régulièrement des réunions du Cercle, par exemple une fois par mois, sur toute une série de thèmes de la théorie marxiste et de l’actualité nationale et internationale.
14 novembre - L’actualité du marxisme
La première réunion du Cercle de discussion aura pour thème : l’actualité du marxisme.
Les idées développées par Marx et Engels il y a plus de 160 ans apportent des réponses scientifiques à toute une série de questions. Comment fonctionne le système capitaliste ? Pourquoi traverse-t-il régulièrement des crises qui s’accompagnent d’un appauvrissement de la masse de la population ? Comment se fait-il que malgré les énormes richesses matérielles et technologiques accumulées au cours des dernières décennies, la société est toujours plus inégalitaire ? Y a-t-il une alternative viable au système capitaliste ?
Lors de cette première réunion, Jérôme Métellus, militant de La Riposte et du PCF à Paris, s’efforcera de répondre à ces questions – et à quelques autres ! Son exposé sera suivi d’un débat où chacun pourra intervenir.
Jeudi 14 novembre - 18 h - Salle B 106
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La révolution russe fut l’un des plus grands événements de l’histoire. Les travailleurs qui, en février 1917, se sont révoltés contre le carnage de la première guerre mondiale, la famine et l’exploitation, sont parvenus à renverser la monarchie tsariste en l’espace de quelques jours.
Huit mois plus tard, la révolution d’octobre portait au pouvoir le parti bolchevik de Lénine et Trotsky.
Déjà dévastée par la guerre mondiale, la Russie révolutionnaire fut immédiatement confrontée à une guerre civile et à l’intervention armée de 21 puissances étrangères sur son territoire. En 1923, la révolution allemande qui avait éclaté en 1919 était vaincue, ruinant les espoirs d’une expansion rapide de la révolution en Europe. L’isolement de la révolution russe dans des conditions d’extrême arriération économique et culturelle fut le terrain sur lequel la bureaucratie se développa, avec à sa tête Joseph Staline.
Sous le règne de Staline, toutes les conquêtes politiques de la révolution d’octobre furent éliminées. Graduellement, les travailleurs furent poussés hors des « soviets » (conseils) et la démocratie interne au parti fut étouffée. La bureaucratie stalinienne concentra tous les pouvoirs.
Lors de cette deuxième réunion du « Cercle marxiste de Paris 8 », nous reviendrons sur les causes et conséquences de la dégénérescence bureaucratique de la révolution russe. Nous débattrons également des leçons qu’on peut en tirer pour la lutte actuelle contre le capitalisme.
Mardi 10 décembre - 18 h
Université Paris 8 - Salle B 106
Rejoignez le Cercle marxiste de Paris 8 ! Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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La Riposte appelle à participer à la manifestation « pour la révolution fiscale » organisée par le Front de Gauche, dimanche 1er décembre, à Paris.
En manifestant contre l’injustice fiscale, nous savons que ce n’est qu’un aspect parmi bien d’autres de l’injustice sociale flagrante qui règne dans ce pays. Des fermetures d’entreprise et des suppressions d’emploi sont annoncées presque quotidiennement. Le nombre de demandeurs d’emploi se situe entre 5 et 6 millions de personnes, et ne cesse d’augmenter. Pour ceux qui ont encore un emploi, les conditions de travail et les rémunérations se dégradent.
Ce sont toujours les petits qui remplissent les coffres des grands, et les dernières mesures fiscales de ce gouvernement prétendument « socialiste » vont dans ce même sens. Concrètement, un nouveau cadeau fiscal, d’une valeur de 20 milliards d’euros, sera fait aux plus grands groupes capitalistes, sans qu’ils en aient besoin. Et comment savoir à quoi cet argent servira ?
Et d’où viendra cet argent ? 10 milliards seront amputés aux dépenses publiques, ce qui veut dire une nouvelle détérioration des services publics, quand ils ne sont pas purement et simplement supprimés. 7 milliards viendront d’une hausse de la TVA, amputant directement le pouvoir d’achat – déjà en baisse – des salariés. C’est une somme qui équivaut à 100 euros par personne en moyenne, et donc pour un couple avec deux enfants, 400 euros de revenus en moins sur l’année ! Enfin, les 3 milliards d’euros qui devaient provenir de l’« écotaxe », actuellement suspendue, restent à trouver.
Concernant l’« écotaxe », n’est-ce pas tout simplement une taxe de plus, sous prétexte de considérations écologiques ? S’il faut encourager l’utilisation des transports publics, qu’on arrête d’en augmenter les tarifs ! S’il faut encourager le fret ferroviaire, qu’on cesse de le démanteler et de le privatiser !
Marchons donc pour contester les mesures iniques du gouvernement. Mais ne perdons pas de vue le problème de fond. Dans une société soumise à la loi du profit, la « justice fiscale » est une chimère. Taxer les profits est une bonne chose, mais tant que les capitalistes conserveront le contrôle des grands groupes bancaires, industriels et commerciaux, ils nous tiendront par la gorge. Ils ne s’intéressent qu’au profit. « Taxer nos profits », disent-ils, « et nous fermerons encore plus d’entreprises, nous supprimerons encore plus d’emplois ».
Pour sortir de ce chantage permanent, il faut des mesures décisives pour briser l’emprise capitaliste sur l’économie et la société. Tous les grands groupes devraient être nationalisés – sans indemnité pour les grands actionnaires –, placés sous le contrôle démocratique des travailleurs et intégrés dans une planification rationnelle et démocratique de l’ensemble des ressources économiques, tournée vers la satisfaction des besoins de tous.
Dimanche 1er décembre – 13h30 place d’Italie
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L’association La Riposte et le Cercle de discussion marxiste de Lyon organisent une série de rencontres mensuelles pour discuter de différents aspects de la théorie marxiste et de l’histoire révolutionnaire. Elles sont ouvertes à tous. Les discussions seront suivies d’un pot fraternel.
La première des réunions de l’année 2013-2014 aura lieu le mardi 12 novembre à 18h à l’université Lyon 2 Quais, salle CR43.
Des mains à la machine : aux origines du capitalisme
Présenté par Jules Legendre, PCF Lyon 7e
La crise qui secoue actuellement le système capitaliste a démontré ses faiblesses de façon tragique et a mis son renversement à l’ordre du jour. Pour pouvoir combattre ce système, il faut dépasser les mythes et les légendes que ses défenseurs ont accumulé. ils prétendent que le capitalisme serait naturel et adapté à la « nature humaine » et qu’il serait indépassable. En réalité, le capitalisme, issu de conditions économiques et historiques spécifiques, peut être analysé scientifiquement et soumis au débat. C’est ce que nous vous proposons de faire lors de cette première réunion publique ! Celle-ci sera consacrée à l’aube du système capitaliste et aux évolutions qui ont permis sa mise en place comme système dominant.
Prochaine réunion : Mardi 3 décembre
Le capitalisme en crises
Prétenté par Tom Cariou, PCF Lyon 9e
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L’association La Riposte organise une série de rencontres mensuelles, tous les premiers mercredis de chaque mois, pour discuter de différents aspects de la théorie marxiste et de l’histoire révolutionnaire. Les rencontres sont ouvertes à tous. Les discussions seront suivies d’un pot fraternel. La première discussion – sur le Manifeste du Parti Communiste – sera animée par Hubert Prévaud, rédacteur de La Riposte et membre du PCF à Toulouse.
Le Manifeste du Parti Communiste, 1848
Le Manifeste du Parti Communiste a été publié quelques semaines avant l’éclatement de la révolution de 1848. La traduction française est parue à la veille de l’insurrection des ouvriers parisiens, en juin de la même année. Quiconque défend les idées du Manifeste s’est vu rétorquer que, depuis le XIXe siècle, la société a évolué, et qu’il faut donc leur préférer des idées plus modernes. Personne ne nierait que le monde a changé depuis la rédaction duManifeste. Mais si l’on veut sérieusement évaluer sa pertinence actuelle, il faudrait voir quels changements ont eu lieu et en quoi ces changements invalident les idées de Marx et Engels. Or, il s’avère que les idées fondamentales du Manifeste sur les caractéristiques et le mode de développement du système capitaliste, ainsi que sur les éléments essentiels du programme pour en finir avec ce système, sont toujours d’actualité. A bien des égards, les perspectives présentées dans le Manifeste se sont réalisées à un point que Marx et Engels eux-mêmes n’eurent jamais imaginé…
Mercredi 2 octobre - 20h
Salle Marengo, 7 rue Leduc - Métro Marengo-SNCF - Toulouse
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Comme chaque année, la rentrée politique sera marquée par la grande fête populaire organisée par les militants du PCF : la Fête de l’Humanité. Elle se tiendra du 13 au 15 septembre au Parc départemental de la Courneuve.
La Riposte y animera deux stands : l’un situé avenue Karl Marx (naturellement !), l’autre au Village du Livre. Vous pourrez y découvrir le n° 68 de notre journal, les quatre livres que nous avons publiés (dont nos Quatre classiques du marxisme), nos nombreuses brochures (dont plusieurs nouveautés), nos badges et nos T.Shirts révolutionnaires. Sur le stand de l’avenue Karl Marx, nous tiendrons également un bar avec bières, sodas et plein de surprises.
Cette année, comme en 2011, nous avons pris l’initiative d’inviter un communiste grec, Angelos Irakleidis, militant de Syriza et membre du comité de rédaction du journal marxisteEpanastasi (« Révolution »). Il tiendra une table dans notre stand de l’avenue Karl Marx pendant les trois jours de la Fête. Le dimanche à 14 h 30, Angelos y animera une réunion publique sur le thème : « La Grèce au seuil d’une révolution ».
Vous pouvez acheter vos places pour la fête de l’Humanité auprès d’un militant communiste de votre ville ou en ligne ici.
Venez nombreux !
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Projection-débat jeudi 4 juillet à 21h
Le Bijou
123 av de Muret 31300 Toulouse
La Révolution ne sera pas télévisée - Coup d’Etat contre Chavez est un des meilleurs films qui existent sur la révolution vénézuélienne. Son sujet central est le coup d’Etat d’avril 2002, qui a vu l’oligarchie du pays, appuyée par le gouvernement américain, tenter de renverser le gouvernement de Chavez.
Les putschistes se sont alors heurtés à une mobilisation massive des travailleurs et de la jeunesse du pays.
Les journalistes qui ont tourné ce film ont ramené d’excellentes images de ce soulèvement populaire - y compris de la situation, heure par heure, à l’intérieur du palais présidentiel.
Ce document met à nu les méthodes et les objectifs réactionnaires de l’opposition. Mais surtout, il constitue une très bonne illustration de ce qu’est une révolution : des millions de gens ordinaires qui s’arrachent à la routine du quotidien et tentent de prendre en main leur destinée.
Tous ceux qui luttent contre le capitalisme trouveront dans ce reportage une grande source d’enthousiasme, ainsi que de précieuses leçons politiques.
La projection sera suivie d’un débat, au cours duquel nous discuterons de ce qui s’est passé depuis le coup d’Etat et des perspectives pour la révolution bolivarienne.
SYNOPSIS :
C’est un documentaire exceptionnel qu’ont réalisé Kim Bartley et Donnacha O’Briain, dans lequel le hasard joue un certain rôle… Il a en effet été tourné alors que les deux réalisatrices préparaient un documentaire sur le président Hugo Chávez au Venezuela. Elles se trouvaient à l’intérieur du palais présidentiel quand fut déclenché, le 12 avril 2002, un coup d’État contre le président élu. Les caméras étaient prêtes à tourner, et les réalisatrices ont donc pu saisir en images le déroulement des évènements, et en saisir toute la complexité, des implications nationales et internationales à la mobilisation du peuple vénézuelien pour le retour de leur président.
Petit rappel des faits : Hugo Chávez est élu en 1998 dès le premier tour avec 57 % des voix, puis en 2000 avec 59,5% des voix (et en 2006 avec 63 % voix toujours dès le premier tour). Le 12 avril 2002, un coup d’État est organisé, préparé par les cadres de la compagnie pétrolière du Venezuela, ainsi que par des dirigeants militaires, avec la complicité des propriétaires des chaînes privées de télévision et de l’ambassade des États-Unis à Caracas. Une manifestation de l’opposition organisée et fomentée par les médias privés se dirige vers le palais présidentiel de Miraflores. Au niveau du pont Llaguno, de mystérieux snipers postés sur les édifices alentours ouvrent le feu sur la foule, faisant 15 morts tant du coté de l’opposition que du coté des partisans de Chávez.
Dans la soirée, un groupe de militaires demande à Hugo Chávez de démissionner. Il refuse mais accepte de quitter Miraflores suite à un ultimatum du commandement militaire putchiste menaçant de faire exploser le bâtiment avec tout le personnel à l’intérieur. Hugo Chávez est arrêté et emmené dans un lieu secret et un nouveau gouvernement autoproclamé est mis en place. Pedro Carmona, président de la chambre de commerce du Venezuela, en prend la tête. Il a été reçu, quelques temps auparavant, à la Maison Blanche et par le Premier ministre espagnol, José Maria Aznar. Quelques États, notamment les États-Unis et l’Espagne, reconnaissent le nouveau régime, en poussant leur ambassadeur respectif à se rendre auprès de Pedro Carmona.
Mais dès le lendemain, malgré un « black out » médiatique établi par les putschistes en place, a lieu une manifestation massive de la population de Caracas. La junte militaire en place y répond par une répression policière féroce faisant 60 morts et plus de 300 blessés. La foule ne se décourage pas pour autant, et réclame le retour de celui qu’ils ont élu…
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- La rédaction
À l’heure où les politiques d’austérité prônées par la commission européenne continuent de plonger les peuples européens dans la précarité généralisée, continuent de démanteler les services publics, tout en laissant toute sa place au monde de la finance, on nous annonce qu’un sursis vient d’être accordé à la France. Le terme de sursis employé par la classe politico-médiatique dominante est révélateur de la culpabilité et du fatalisme dans lesquels on veut nous emmener : payer pour ceux qui ont provoqué la crise ! Ce genre de manipulation, le dénigrement continu du concept de « bien commun », accompagné de politiques dures qui étouffent les objections, fait partie d’un processus de dépossession de notre démocratie.
Mais il est possible de s’opposer à ce déni de démocratie tout en partageant les richesses : le Venezuela est la preuve concrète qu’il n’y a pas de fatalité !
Quoi qu’on pense de Chavez, la révolution vénézuélienne – car c’est bien d’une révolution qu’il s’agit – est un formidable laboratoire des alternatives à l’austérité et au capitalisme, et à ce titre nous concerne tous directement. Avec la mort de Chavez le mardi 5 mars, les travailleurs et tous les exploités du Venezuela ont perdu un dirigeant et un défenseur dans la lutte contre le capitalisme.
Allant directement à l’encontre des exigences des puissances impérialistes et de l’oligarchie locale, Chavez a refusé les privatisations, l’austérité et la régression sociale. Les ressources du pays ont été mobilisées pour répondre aux besoins du peuple. Dans les domaines de l’éducation, de la santé, des conditions de logement et bien d’autres, les mesures concrètes prises par son gouvernement ont considérablement amélioré les conditions de vie des populations. La mort de Chavez inaugure une phase nouvelle — et décisive — de la révolution vénézuélienne. Cette révolution n’a pas été menée à son terme. Une fois de plus, la contre-révolution passe à l’offensive. Les opérations de sabotage économique s’intensifient et deux diplomates américains ont été expulsés du pays après avoir tenté de nouer des contacts avec des chefs militaires vénézuéliens dans le but d’organiser un nouveau coup d’État. La situation actuelle — celle d’une révolution à mi-chemin — ne peut pas durer.
Quelles sont les perspectives pour la révolution vénézuélienne ? Qui sortira vainqueur dans la lutte entre les forces révolutionnaires et contrerévolutionnaires ? Les militants de la campagne « Pas Touche au Venezuela ! » nous présenteront leur opinion, lors de cette Assemblée Citoyenne organisée par les militants du Front de Gauche. Une discussion s’ensuivra pour approfondir tous ensemble ce sujet et l’idée avancée par le Front de Gauche : une 6éme république qui permettrait de mettre en place, en France, ces alternatives.
Assemblée citoyenne
Mercredi 5 juin à 20h
Salle de la Doline à Sébazac
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Comme tous les ans, la fédération du PCF de Haute-Garonne organise la fête de l’Humanité à Toulouse.
Elle aura lieu du samedi 1er juin au dimanche 2 juin, à Toulouse, à la zone verte des Argoulets, Métro Argoulets. L’entrée est à 15 euros pour les 2 jours (12 euros en prévente).
De nombreux concerts seront programmés, ainsi que de nombreux débats. Voir le programme de la fête à cette adresse : Fête de l’Huma 31
Le journal La Riposte (Révolution), qui tiendra comme chaque année un stand sur la fête, organisera un débat le dimanche 2 juin, à 14h30, devant le stand de La Riposte , avec pour sujet : Quel partage des richesses ?